rencontre [pv seulement Nami ]

Les douze coups de minuit venaient de sonner et je n'avais pas encore terminé de remplir ces foutus papiers. J'étais allée prendre une petite promenade pour me relaxer, naturellement, je n'avais pas pris de saké. (Si, si, je vous le jure...) Lorsque j'étais revenue à mon cher palais (Vous savez, le bâtiment, pas le truc que vous avez dans avez dans votre bouche...) ce fut un être pas inconnu que je trouvais. Il s'agissait de ce "cher" Sasori qui avait apporté cet alcool de riz. Il avait avec lui plusieurs bouteilles de saké, essayait-il de m'apprivoiser? Je refermais doucement la porte derrière moi, il ne fallait pas que quelqu'un nous voit. Il ne faudrait pas qu'une oreille indiscrète, aille tout raconter de cette alliance secrète. Je n'affichais pas ma surprise, tout en regardant cette étrange prise.

-Que me vaut donc cette visite inattendue?demande-je à mon invité peu éperdue.

Sasori ne se leva pas, il regarda toujours par la fenêtre. Sans détourné le regard, il prit d'une main sûre une bouteille de saké et l'envoya vers Nami qui la rattrapa sans effort. A ce moment Sasori se retourna.

- bin voila, je me suis dit ! tiens si j'allais voir cette chère Mizukage. Je l'avoue je m'ennuyais à un point pas possible. Donc je suis venu. Mais en arrivant je n'avais rien dans les maisn donc je me suis encore dit. Ce n'est pas poli et je les ai donc acheté.

Sasori se leva et ouvrit la fenêtre. Quelques personnes passaient en dessous sur la route mais personne ne l'avait vu ouvrir la fenêtre. on pouvait voir tout sorte de personne, homme, femme, enfants pressés, marchands.

- J'espère que ça ne te dérange pas ?

Même si parler à une personne qui me tournait le dos me répugnais, je ravala très vite ma colère en attrapant la bouteille de saké que Sasori me lançait. Ça me faisait penser à quelque chose. À chaque fois que je rencontre un membre de l'Akatsuki j'obtiens la majorité du temps un objet quelconque de cette organisation. Si on récapitule, j'ai reçue trois bouteille de saké ainsi que la bague prouvant que je suis membre de l'Akatsuki lors de l'accord entre Madara et moi. Donc, après avoir vérifié rapidement que le cadeau de Sasori n'était pas empoisonné d'un œil de maître, j'en suis convenu à la conclusion qu'il ne l'était pas. (Avec les années, j'ai débloqué une habilité naturelle dans ce domaine. Ce n'était pas comme si je craignais d'être empoissonnée à tout moment, mais…heu, bref passons.)

- Si tu t'ennuies, tu peux toujours t'occuper de toutes les préparations pour le futur examen Chuunin à ma place, dis-je en désignant la tonne de papiers qui trainait sur mon bureau. Nah, je rigole, quoique si tu te portes volontaire... Mais bon, merci tout de même pour la bouteille de saké.

- J'espère que ça ne te dérange pas ?

- Heu, me déranger de quoi? Que tu ouvres la fenêtre ou que tu viennes à Kiri pour me voir? Dans les deux cas, peut importe, ce qui est fait est fait.

Je me dirigeai vers l’armoire la plus proche où je sortis deux coupes. Je versai du saké dedans avant d’en tendre une au marionnettiste.

-Trinquons mon ami à la vie, à l’Akatsuki, à Kiri, (Finalement toutes les choses qui finissent en « I ».) .Yo Ho!

Sasori sourit en entendant la phrase de Nami. Soit elle mentait en disant cella, soit elle aimait vraiment l'Akatsuki. Mais alors vraiment beaucoup. Donc aprés avoir remercié Nami et avoir bu d'une seule traite la coupe de saké, Sasori laissa la fenêtre ouverte et retourna s'assoir sur le fauteille. Tout allait pour le mieux en tout cas, Nami était en grande forme, ce qui réjouissait Sasori. Il du ouvrir une autre bouteille de saké car la première venait de finir. Donc aprés avoir bien entammé la deuxième, Sasori regarda la tonne de papier sur la table.

- Pourquoi tu as décidais d'être Kage, c'est pas trop énervant comme boulot ?

Sasori se leva et s'assis à la place du kage, feuilletant la paperasse, il prit un air triste. Un bruit se fit entendre dans le couloir, des pas approchaient de plus en plus mais passèrent sans s'arreter. Heureusement d'ailleurs, quelqu'un aurait pu entendre leur cnversation.

En regardant Sasori, je me demandais bien ce qui le faisait sourire. Qu'est-ce que j'avais dit?
Peut-être était-ce le "tronquons pour l'Akatsuki". Il ne me croyait peut-être pas à propos du fait que j'aimais bien cette organisation. D'accord, ce n'était peut-être pas à la "folie", mais je la trouvais assez sympa...surtout qu'elle n'avait commis aucun geste dit "agressif" envers mon village. Quoique à bien y pensé, le fait qu'il n'y ait pas d'accidents avec l'Akatsuki peuvent paraître assez louche. Donc, il se peut que les Kages suspectent quelque chose, j'avais oublié de penser à ce détail.

- Hé Pinocchio, avant que tu pense que je n'aime pas l'Akatsuki, sache que c'est plutôt le contraire. Je ne vous en veut peu pas. Vous n'avez pas encore attaqué mon village et en plus, contrairement aux Kages, vous me donnez toujours des bouteilles de saké, hé, hé, hé.

Cela nous prit peu de temps pour finir la bouteille de saké. (Quoique on pouvait facilement dire que c'était moi qui en avait bu la majorité.) Je le vis à ce moment regarder la pile de papier sur mon bureau. Allait-il m'aider à remplir tout ça? Ouuuuuui, heu non. Il se contenta seulement de me poser une question, dommage.

-Pourquoi je suis devenue Kage, hein? Disons tout simplement que c'est pour avoir une certaine liberté que je n'avais pas avant, répondis-je d'un air anxieux.

Cette réponse avait beau être mystérieuse, c'était la vérité. La place de Kage donnait certains privilèges ayant une certaine valeur. Par exemple, peut importe ce qu'il décidait, le monde suivait, même si ça les menait directement à la mort. Méchante, cruelle, manipulatrice diriez-vous? Hé, hé, hé, je suis ce que je suis, c'est-à-dire Nami. Ça me fait penser, je n'avais rien trouvé pour la désobéissance du jeune Uchiwa.

-Sasori, tu peux me rendre un petit service, s'il te plaît? lui demandais-je en lui faisant mon plus beau sourire.

Fugaku se trouvais devant la porte de la mizukage, il frappa et après quelque seconde entra. Des larmes coulais des yeux de fugaku. Fugaku marcha doussement vers Nami et posa les genoux au sol devant elle.


Nami-sensei

Aucun autre mot ne put sortir de la bouche de Fugaku il prit le message et le tendis vers Nami-sensei.
Fugaku venait de perdre celui en qui il contait le plus dans le village. Son coeur était déchirer.

Je suis désolé Nami-sensei, je ne l'est pas vu partir, je m'en veut...

Fugaku était telment perturbé par se qu'il venait de se passer qu'il ne put remarqué le mondre détaille tous était devenu flou au yeux de Fugaku.

[Fugaku, faut pas interrompre un post privé! Faut demander la permission avant! J'tvais dit d'être patient! Si seulement t'avais attendu un peu comme je te l'avais demandé, t'aurais eu ta distraction... Enfin, pas grave... Ta surprise sera aux portes de la ville sous peu ^^.]

Madara, cette fois déguisé en anbu de Kiri, avec le masque cachant ses traits et ses yeux et la veste qui faisait partie de l'uniforme, rentra à la suite de Fugaku. Le regardant, il déclara:

-Jeune gehnin, il semblerait que nous ayons un intrus aux portes de la ville, veuillez aller vérifier, je dois discuter avec Mizukage-sama en privé...

Il escorta Fugaku jusqu'à la porte et le fit sortir du bureau, doucement, mais fermement. Puis, s'assurant que Fugaku était loin, il referma la porte du bureau, alla jusqu'à la fenêtre, la ferma aussi, jeta un genjutsu de désorientation sur la porte comme la fenêtre pour s'assurer que personne ne pourrait plus trouver le bureau de Nami, il tira les rideaux avant de finalement abaisser son masque...

Voyant la bouteille de Sake vide, il fronça les sourcils d'un air réprobateur.

-Sasori... Je suis... Concerné. Tu avais mis de la peau sur ton coeur, tu bois, tu... Qu'es-tu en train de faire quand tu es supposé être en mission?

Il vissa son regard impassible, mortellement silencieux.

-Je suis... Déçu...

Puis il regarda Nami:

-Nous avons à parler logistique... Désolé de couper court à votre... Petite soirée...

Fugaku se redressa a l'arrivé de l'anbus dans le bureau de Nami. L'anbus semblais signialé un intrus a l'entré du village.

Bien, je part sur le champs l'interpeller!

Fugaku s'inclina par marque de respect et partit en direction des porte de Kiri.

==> porte de Kiri

Ce type est myope. Voilà la première chose au quelle je pensais. Il n'avait même pas remarqué Sasori alors que c'était supposé être un "méchant". Donc, il aurait été supposé l'attaquer, ou encore crier en disant que c'était un membre de l'Akatsuki, qu'il n'avait rien à faire ici et toutes les choses du genre. À la place, il était tout simplement parti en me donnant un parchemin comme l'avait si gentiment dit l'Anbu. En parlant de ce dernier, il fallait pas être un devin pour deviner que cette personne n'était pas ce qu'elle prétendait être. Donc, lorsqu'il enleva son masque, ce fut sans surprise que je découvris Madara. Un jour, je vais peut-être être habituée à ses visites improvisées, un jour, mais pas maintenant. Donc, après sa petite discution avec Sasori, dont j'appris qu'il était en mission, Madara s'adressa à moi.

- Bah pas grave, donc vas-y je t'écoute.

Madara sourit.

-L' 'Intruse' est une de mes gens. Elle t'aidera pour à gérer le village, je n'ai donc nul besoin de te l'expliquer. Elle est disciplinée et feras tout ce que tu lui dit de faire. Incluant...

Il pointa le 'Mont Paperasse'.

Puis il continua.

-Fais-en ton assistante et elle te sera utile. Notamment pour gérer les... Turbulents... Dans ce village... C'est tout ce que j'avais à dire. Elle s'appelle Mei Bei Jing. Elle est chinoise.

Sur ce, il se dirigea vers un coin de la salle et :

Katon! Les ailes des ténèbres!

Technique qui permet de fuir le champ de bataille. Des ailes de feu noir apparaissent dans le dos de Madara, l'enveloppent, et le consument. Il se fait entièrement consumer par les ailes et réapparaît au QG de l'Akatsuki. Comme la technique le consume, il faut payer des PV en plus des PC habituels.

-1000 PV
-1500 PC

Effet: Fuite du combat et transportation au QG de l'Akatsuki.

Il disparut de la pièce, n'accordant même pas un autre regard à Sasori, on pouvait sentir sa... Déception...

C'était assez sympa de la part à Madara de faire ça. Je devais avoué qu'un peu de main d'œuvre était le bienvenue, même s'il s'agissait d'un couteau à deux tranchants. Même si j'avais bu, mon esprit était capable d'analyser correctement cette situation. "L'intruse" allait me surveiller de près pour que je ne trahisse pas l'Akatsuki et je ne croyais pas que je puisse la manipuler. Mon champs de liberté se réduisait considérablement avec cette nouvelle arrivé. Certes, je savais que ça allait arriver un jour ou l'autre, mais si cela avait arrivé un peu plus tard, ça ne m'aurait pas dérangé. Cependant, en regardant le "Mont Paperasse" s'élever dans toute sa splendeur que pouvait l'être une pile de papier, je réprimai avec difficulté un petit sourire. Je remarquai alors le parchemin que m'avait donné Fugaku. Je l'ouvris et je jetai un oeil rapide sur son contenu. Décidément, j'étais maudite. Un autre genin avait déserté. La majorité du temps lorsque je prenais un élève, soit il finissait par partir ou soit on en n'entendais jamais parlé. Me souvenant en ce moment précis que Sasori était encore là, je relevai mes yeux vers lui en lui faisant un petit sourire.

-Hé, hé, hé, tu sembles silencieux Sasori.

Sasori ne parlait pas, les yeux rouges de fureur. Il avait son coeur qui tirait sur le reste. Comme si il voulait partir. Pourquoi allait il qu'il arrive. Pourquoi maintenant. Puis un sourire revînt sur son visage. Son comportement avait subitement changé, il était redeenu comme avant. Sakura l'avait perverti, oui voila pourquoi tant de changements. Elle l'avait ensorcellé mais il ne l'était plus. Le choc l'avait fait redevenir normal. Se levant, le visage glacé et les yeux vides, il s'approcha de Nami tout doucement. Il tourna légèrement autour d'elle touchant son cou avec un doigt. Il l'embrassa légèrement dans le cou et son sourire s'éllargit.

- Tu as la peau parfaite pour devenir une marionnette. Fine et assez résistante, une belle couleur par d'ailleurs. Héhé !

Sasori se retourna pour s'approcher de la porte. quand il la toucha le maléfice lançait par Madara disparut. L'ouvrant légèrement, il passa la moitié de son corps. Il se cambra un gros coup. Il voyait Nami à l'envers et sourir bizarrement en faisant basculer légèrelent sa tête sur le côté.

- Héhé, fais attention de ne pas faire un pas sur le côté car je serais le premier à venir te tuer.

C'est décidé, je ne veux jamais mourir. (Parce que tu voulais avant?) (Oui, bon, je voulais pas avant et là, je le veux encore moins.) En plus, si cette horrible chose devait m'arriver, ce serait à des milliers de kilomètres d'ici, dans un trou perdu si possible pour que personne ne retrouve mon corps ou encore, je me ferais incinérer. Ce n'est pas tout ça, mais je ne veux pas devenir la marionnette d'un type comme lui. C'est le cauchemar de tout être sensé. (En particulier des personnes de sexe féminin.) Si la personne avec qui je discutais tout-à-l'heure était le gentil Sasori dragueur, il avait fait place au Pinocchio psychopathe. il tournait autour de moi tel un tigre en cage avant de m'embrasser légèrement sur le cou. Contrairement à la première fois, je ne restais pas surprise. J'étais plutôt sur mes gardes, son sourire ne me plaisait. Il me faisait penser à un meurtrier fou allié. Lorsqu'il me dit que je ferais une parfaite marionnette, alors là, je crois que ma taux de paranoïa a augmenté subitement.

-C'est sympa de ta part, dis-je après que Sasori m'ait agréablement dit qu'il allait me tuer si je changeais de côté.

Il n'y avait aucun risque selon moi, mais bon. Ce fut du soulagement que je ressentis en le voyant partir. Cependant, je me rappelai à ce moment que Madara m'avait dit qu'un "intruse" était arrivé. Donc, j'attendais impatiemment la nouvelle.

Fugaku arriva devant le bureau de la Mizukage et vu Nami-sensei en train de fermer la porte de son bureau.

-Nami-sensei conformément a mes ordre recut par l'anbus voici la cible.

L'étrangère qui l'avais suivie et qui avait l'aire d'ailleur assez préssé de rentrer dans le village, se vu dans l'obligation de se présenter a la Mizukage.
Fugaku ayant acomplis sa mission s'inclina devant la mizukage et se retira alors chez lui pour son entrainment quotidiens.

====> maison de Fugaku

-Mei Bei Ling, à votre service, Mizukage-Sama.

La voix, claire, militaire, précise, se répercuta dans la pièce. Les deux femmes se faisaient face, l'une, debout au centre de la pièce sous observation de l'autre, assise derrière son bureau, dépassant à peine le 'Mont paperasse' qui s'exprimait dans toute sa gloire. Mei s'inclina.

-Vous pouvez m'appeler Mei. C'est plus simple.

Se relevant, elle observa Nami à son tour, la jaugeant.

*Elle est intelligente, ça se voit, mais il lui manque la fermeté nécessaire à un bon chef... Je serai sa béquille dans ce domaine...*

Hé, hé, hé, je sentais que j'allais l'aimer comme assistante cette petite. La clarté et la fermeté de sa voix prouvaient qu'elle était une personne décidée, telles les militaires. Elle me donnait aussi l’impression d’être quelqu’un de loyale en plus d’être discipliné. Tiens, j’en connais un qui devrait la prendre comme modèle. Seulement, même si je pensais ça, je ne tenais pas ces informations comme quelque chose d’acquis. Par exemple, il peut s’agir en réalité d’une illusion de Madara qu’il utilise pour que je lui accorde toute ma confiance et que je lui donne ainsi des informations secrètes. (Par exemple?) (Heu, aucune idée…) Peut-être même qu’il s’agit d’un ninja envoyé de la part des autres villages pour prouver que je me suis associé avec l’Akatsuki. Bon, je dois réellement me calmer. Ce n’est pas tout ça, mais si je suis rendue incapable de raisonner normalement à cause que j’imagine des complots partout. C’est de très mauvais augure, surtout si vous vous nommez Nami et que vous comptez plus sur votre esprit qu’autre chose…

-Hé bien, dans ce cas, bienvenue à Kiri, Mei. Je crois que tu le sais déjà, mais comme on n’est jamais trop prudent, je me nomme Nami. D’ailleurs, pendant qu’on est dans les présentations, il faudrait que je sache ton âge et les choses du genre pour que je puisse te créer les papiers permettant de t’identifier comme ninja de Kiri ainsi que mon assistante. Pendant que j’y pense, il faudra sans aucun doute " réinventer" ton passé pour qu’il s’adapte à la situation. Sans vouloir te vexer, une personne qui arrive à l’improviste qui prétend être l’assistante du Mizukage, c’est un peu louche. Donc, ça passe un peu mieux quand il s’agit d’un membre du village. Certes, il faudra que je change des informations dans le registre et les choses du genre, mais ça ne devrait pas poser de problème. Ah et par pur et simple curiosité, pourquoi as-tu quitté la Chine pour venir ici?

Mei sourit d'un sourir calme, déclarant d'un ton posé.

-Nami-sama... Je ne suis qu'une humble paysanne venant d'un village de pêcheurs sur la côte de Kyûshu, descendante de parents chinois qui étaient anciens soldats durant la dernière tentative d'invasion. C'est d'eux que j'ai hérité mon épée. Mes parents, toute petite, m'ont vendus à des bandits qui m'ont... Utilisé... jusqu'à mes seize ans... Enfin, un des Anbus du village a été envoyé pour s'occuper d'eux. Je crois que vous l'avez rencontré plus tôt, d'ailleurs... Et m'a sauvé... J'ai passé quatre années d'errance à apprendre toutes sortes de choses, travaillant de toutes les façons possibles pour finir par arriver ici, dans le village du Shinobi m'ayant sauvé. Quoi de plus naturel que de me mettre au service de ce village pour repayer ma dette? Comme vous aviez besoin d'une assistante pour gérer...

Elle pointa notre cher 'Mont Paperasse' d'une main et dit dédaigneusement:

-'Ça', eh bien, je me suis proposée et me voilà. Votre nouvelle bouffe-paperasse qui n'est votre assistante que pour son habileté à s'en occuper.

Elle ajouta, avec malice.

-Enfin, je 'suppose' que c'est ce que dirons les registres 'officiels', non? Bien que je sois également spécialisée dans des... Techniques disciplinaires... variées. Mais ça, les gens n'ont pas besoin de le savoir, si?

Puis elle répondit aux questions diverses de Nami:

Nom: Mei Bei Ling
Âge: 20 ans
Poids: X Kg
Taille: 157 cm
Sexe: Féminin
Mesures: X, Y, Z

Après un moment elle sourit, sachant pertinemment qu'elle était en train d'ensevelir Nami sous une trop grande quantité d'informations inutiles, et finit avec un:

-Ah... Oui... Quand à votre dernière question... Je suppose que vous ne me croiriez pas si je vous disais que je suis une soldate en permission qui est venue affiler ses épées au pays du soleil levant, et que le seul personnage que j'ai trouvé disposé à m'apprendre était cet... Anbu. Et que celui-ci devant... Repartir en missions... A décidé de me laisser poursuivre mon apprentissage ici?

Elle parlait à mi-mots, mais Nami comprendrait sûrement ce qu'elle avait dit.

Bon, bah, si elle avait pu abréger un peu en me disant seulement les informations essentielles, ça ne m’aurait pas déplu. Parce que là, c’était, comment dire, trop? Je n’avais pas besoin de sa taille et encore moins de son poids et je voyais bien qu’elle était une fille. J’ai beau être borgne, je ne suis pas myope, du moins pas encore. Pour sa réponse à ma dernière question, je ne la classais pas immédiatement dans la catégorie « mensonge » ou « vérité ». Je n’avais aucune preuve, donc aucun moyen de le savoir. Si je pouvais seulement obtenir quelques informations quelconques à propos de Mei pour apaiser ma curiosité un peu trop débordante… Bref, passons à autre chose maintenant. Je lui lançai un trousseau de clé et une carte de Kiri qu’elle attrapa sans aucune difficulté.

- Comme tu vas sans doute rester longtemps, il te faudra sans aucun doute un endroit où te loger. Donc, je te fais cadeau d'une jolie maison. Elle se situe proche du palais et tu as droit à une jolie sur la rivière en plus. Elle est encerclée en rouge sur la carte. Celle-là aussi je te la donne. Il ne faudrait pas que tu te perdes, ce serais vraiment dommage.

Pour une fois, j'étais réellement sincère. Après tout, c'était elle qui allait s'occuper de la paperasse, hé, hé, hé. Pour la maison, ça venait de l'héritage d'une de mes tantes. Si je me souviens bien, elle est morte entre quelque chose qui oscille entre une crise cardiaque et une tentative d'empoisonnement. Aux dernières nouvelles, ils n'ont jamais réussi à trouver ce qu'elle avait eu. C'était bien dommage. (Là, je ne suis pas ironique...) Bref, je n'y avais jamais remis les pieds depuis ce triste évènement. Donc, ça ne me dérangeait pas du tout de la donnée.

- Tu dis être aussi spécialisés dans les techniques disciplinaires? Donc, que me suggères-tu pour un genin un peu trop récalcitrant?lui demandais-je tout en gardant un visage impassible.

Mei sourit un sourir réservé.

-Oh... Tout dépends de votre façon de faire les choses... Je peux, le discipliner de manière... Physique? Ou sinon un petit châtiment psychologique, un peu de peur, ça ne tue personne mais fait généralement des miracles. Ou sinon, il y a des méthodes plus douces, l'amnésie provoquée, les sérums de vérité s'il vous cache des informations, ou encore, je peux simplement le prendre en main personnellement et l'entraîner comme il faut, lui apprenant du même coup le respect dû à un maître, Nami-sama. C'est votre choix vraiment, je suis sûre que vous ne manquez pas d'idées à ce sujet...

Il restait plus qu'à choisir exactement ce qu'elle voulait qu'il arrive au Ghenin le plus indiscipliné des villages. Dans son cas, on pouvait espérer l'entraînement personnel, ce serait le plus doux des châtiments, et s'il était intelligent, il pourrait même en ressortir plus fort. S'il en ressortait...

-Autre chose? Sinon je vais m'occuper aussi de ceci chez-moi, durant la nuit, vous l'aurez au matin...

Elle empila le 'Mont Paperasse' sur un parchemin d'invocation et le scella à l'intérieur, roulant le parchemin et le glissant dans un petit étuis accroché à la ceinture de son épée.

-Bien, je crois que tout y est. Je profiterai de ma visite à ma maison pour visiter également ce jeune ghenin. J'en déduis qu'il s'agit de celui qui m'as amenée ici? Et que voulez-vous que je lui fasse?

-Effectivement, il s'agit bien de celui-là. Il se nomme Fugaku et il fait parti du clan Uchiwa. Pour ce que tu dois lui faire, j'irais pour un entraînement intensif ainsi qu'un peu de torture mentale si possible. Bref, je crois avoir terminé, donc tu peux t'en aller. C'est un réel plaisir de t'avoir comme assistante, lui dis-je en souriant.

Sa connaissance en matières disciplinaires me laissait sous-entendre qu'effectivement, elle était une soldate avant de venir ici...ou que notre cher Anbu lui a montré toute la connaissance à ce sujet. Bref, même si sa pouvait être un indice pour savoir la vérité à son sujet, ça ne m'aidait pas beaucoup. Je n'aimais pas ne rien savoir, donc aussitôt que j'aurais de temps de libre, je crois que je vais faire une enquête sur elle.

Elle s'inclina et dit brièvement:

-Pas de problème... Alors, si vous voulez bien m'excuser, Nami-sama...

Elle sortit.

Fugaku arriva devant le palais de la Mizukage. Il franchit les portit et arriva dans le long couloir désert. Fugaku continua son chemin jusqu'a arrivé devant la porte du bureau de la Mizukage. Fugaku frappa a la porte mais personne ne répondit. Fugaku s'en tiens au ordre, il se posta devant la porte de la Mizukage et attendit l'arrivé de Mei-sensei.

*Mei-sensei ma dit que je devait obiérir uniquement a ces ordre, mais Fugaku ne savais pas si cela consernait aussi Nami-sama. Mais d'après se que Mei a dit avant cela devais ètre le cas.*

Fugaku était tous de meme perplexe il accord la confiance totale en Mei mais restait quel que peux inquiet en se qui consernait Nami-sama. Mais les ordres on été claire, pas de mensonge ni d'omission lors d'un rapport. Pour se qui est de Susano Fugaku en parlera a Mei-sensei qui jugera si nami-sama doit ètre mit au courant.

-Mince j'y pense espérons que Mei-sensei pense a ferme la porte de la maison derrière elle.

Fugaku fit un petit sourir.

-Ba dans tous les cas si un voleur vient, je serai le retrouver et le conduire au autorité de kiri, cela ferai un voleur en moins à Kiri.

Fugaku s'assit sur l'un des trois banc qui se trouvai devant la porte de la Mizukage. Et atteindit l'arrivé tend attendut.

Mei arriva après Fugaku au bureau de Nami, même si elle était partie après son apprenti. Il lui avait fallu passer par le marché du village pour s'acheter de quoi manger, elle qui n'avait rien avalé depuis des lustres. Elle vit Fugaku devant le bureau du Kage, assis sur un banc.

-Hrn... bien... Elle n'est pas là?

Elle cogna à la porte du bureau, mais, voyant comme personne ne semblait répondre, elle haussa les épaules.

-Bon, en attendant, on va aller au chat tranché, histoire de voir s'il y a moyen de glaner quelques informations sur la cible, avant de se mettre en chasse. Sur ce, elle ressortit, Fugaku à sa suite.

Mei arriva derrière ces pas.

-J'ai suivis vos ordre Mei, mais personne était dans le bureau

Mei proposa alors d'allé au chat tranché.

-Bien Mei-sensei je vous suit

Fugaku accompagna alors Mei-sensei jusqu'au chat tranché un fameux restoraux réputé pour son bar.

/Hs je te laisse posté en premier vu se qu'il se passe lasbas ^^/HS